13/01/2011
...rechts zwei ungeheure beeiste Zacken...
« [E]t à cet instant précis je sentis un brusque chevauchement dans la texture du temps, comme si cela s'était produit dans le passé ou se reproduirait dans l'avenir. » (Nabokov)
« Il n'y a donc pas à compter sur le néant pour en finir, car, quand on est entré dans l'existence, on est entré dans une situation qui a pour caractère essentiel qu'avec elle on n'en finit pas. » (Blanchot)
00:08 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Mais c'est elle qui en finira avec nous !
[Amitiés]
Écrit par : sk†ns | 13/01/2011
D'où certainement le caractère énigmatique de 'L'instant de ma mort' du même Blanchot.
[Amitiés ; et très bientôt une réponse à ta missive]
Écrit par : Anaximandrake | 13/01/2011
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