12/10/2011
Camera obscura
Guillaume Orignac, David Fincher ou l'heure numérique, Capricci
Deux lectures de cet ouvrage :
Ruines Circulaires - Que peut-il rester de vivant en nous ?
La Page de Pierre Cormary - Fincher et les signes
16:40 | Lien permanent | Commentaires (0)