26/06/2007
Pareatis
« Le fondement de toute explication est le dressage. » (Wittgenstein)
« Il est vrai que le platonisme représente déjà la subordination de la différence aux puissances de l’Un, de l’Analogue, du Semblable et même du Négatif. C’est comme l’animal en train d’être dompté, dont les mouvements, dans une dernière crise, témoignent mieux qu’à l’état de liberté d’une nature bientôt perdue : le monde héraclitéen gronde dans le platonisme. Avec Platon, l’issue est encore douteuse ; la médiation n’a pas trouvé son mouvement tout fait. L’Idée n’est pas encore un concept d’objet qui soumet le monde aux exigences de la représentation, mais bien plutôt une présence brute qui ne peut être évoquée dans le monde qu’en fonction de ce qui n’est pas "représentable" dans les choses. » (Deleuze)
« Platon, je crois, était malade » (Platon)
22:10 | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
Ç'pas grave, y'a toujours sa pharmacie :ça l'deridera !!
Ouarff !!!!!!!!
Écrit par : sk†ns | 27/06/2007
Mais non, ne lanterne pas ! Fais donc le sophiste.
Écrit par : Anaximandrake | 28/06/2007
Le fondement de toute explication est le tressage.
Écrit par : Pénélope | 29/06/2007
Le fondement de toute explication est un trait fou.
Écrit par : Cy Twombly | 29/06/2007
Le fondement de toute explication est la pharmacopée carcérale.
Écrit par : Platon (agent ex-filtré d'un laboratoire de prisonniers) | 02/07/2007
... ou l'allonge
Écrit par : cheval blanc | 05/07/2007
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