Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/06/2005

_|_

« Car celui qui cherche seul son chemin peut facilement s’égarer, et même tomber dans la folie, car le chemin du mystique est pavé et bordé de dangers. Il longe les abîmes de la conscience et a besoin d’un pas mesuré et sûr. » (Scholem)

Commentaires

Au moins si la folie ... tout (ou presque) pourrait être excusable, aurait une raison ...

Écrit par : Kate | 10/06/2005

A quoi donc vous sert de parler, comme cela, en passant, de la folie et de ses gouffres puisque ce butinage, de lourd bourdon plutôt que d'alerte abeille, est l'inverse même et comme le déni de toute folie, qui exige, comme si vous ne le saviez, un systématique dérèglement de tous les sens, id est : une méthode, donc une écriture se développant dans un projet, une plongée ?
Et puis, tsss, pour devenir un Sabbataï Tsevi, encore faut-il, détourant la folie, un souffle mystique qui, chez vous, me semble pour le moins être tenu pour quantité négligeable, être le tiers exclu plus qu'invisible en somme.
Kate, je vous salue très amicalement : dites-moi, qu'est-ce qu'une charnelle comme vous (attention, j'emploie cet adjectif dans un sens souverain et nullement méprisant) fait en tentant de dialoguer avec des squelettes cliquetants et savants ?

Écrit par : Stalker | 10/06/2005

N'avez-vous jamais que des avis, Stalker ? Merci d'être venu nous divertir avec vos poncifs. Quant au reste, n'ayez crainte, je m'en charge, mais sans rhétorique.

Bien à vous, Kate.

Écrit par : Anaximandrake | 11/06/2005

Vous confondez , parceque votre narcissisme délirant y trouve son compte folie et dérèglement systématique de tous les sens Juan . La folie est la limite , l'échec et le refuge de toute pensée qui se risque à l'expérience des gouffres, elle ne la justifie nullement .

Écrit par : simone | 11/06/2005

"J' étais triste d'avoir perdu cette nymphe qui m'était si chère. Ayant réuni des branches de bois sec éparpillées sur le lieu où je me trouvais, j'y mis le FEU à l'aide d'une lentille que je trouvais avoir sur moi, et fis rougir ma lance presque au blanc. Pendant cette opération je cherchai le moyen qui pourrait le mieux détruire la serrure de la porte du temple. Je m'aperçus que la nymphe m'avait glissé dans ma poche sans que je m'en aperçusse un bocal bouché, plein de la substance qui m'était nécessaire.

Déterminé à VAINCRE ou à PERIR, je saisis avec FUREUR ma lance d'une main et la substance de l'autre, et mis de cette dernière sur la serrure la quantité nécessaire.
Celle-ci en peu de temps disparut entièrement et les deux battants de la porte du temple s'ouvrirent avec fracas. J'aperçus un effroyable dragon qui avait un énorme dard à trois pointes qui cherchait à me lancer son haleine mortelle. Je m'élançai sur lui en criant:

LORSQU'ON A TOUT PERDU, QUE L' ON N'A PLUS D' ESPOIR,
LA VIE EST UN OPPROBRE ET LA MORT UN DEVOIR.

Il ouvre sa gueule pour me dévorer, je lui plonge dedans avec tant de force ma lance que je pénètre jusqu'aux entrailles, je lui déchire le coeur; et enfin qu'il ne pût m'atteindre, je faisais en même temps de rudes efforts à l'aide de ma lance pour détourner la direction de sa tête. Le monstre se replia sur lui-même à diverses reprises, vomit des flots de sang et cessa d'exister."

(Cyliani- Hermès dévoilé)

V.I.T.R.I.O.L

Bien à vous Magistère.

Écrit par : LKL. | 11/06/2005

Ce pas mesuré au bord de l'abîme de la conscience forme la cadence. C'est là la clef comestible : Dans le jardin des délices perle la rosée matinale, nos pieds et nos mains sont trempés. C'est l'aube d'un jour nouveau. J'en remercie l'hôte de ces lieux.

Où serait l'infortune ?

...A condition de bien arracher les dents du nécessaire dragon.

Écrit par : Lambert Saint-Paul | 11/06/2005

Diable mon anaximembraque, on dirait que je vous ai froissé, avec ou sans rhétorique... Voilà bien qui me fait soupçonner un coeur alors même que je ne croyais voir en vous qu'une régulière petite horloge suisse (tic, tac, tic, tac, tic...) nous sortant à heures régulières son coucou deleuzien... Je ne vois aucun poncif pour ma part et pas même un avis : monsieur le philosophe (je ne connais, pour ma part, rien d'autre que des professeurs de philosophie...), vous ne vous en êtes peut-être pas rendu compte, mais il s'agissait bien d'une critique, et à votre inventaire butinant de la folie, et à une citation décontextualisée de Scholem (de mémoire ceci dit, n'ayant pas vérifié la source exacte, je m'avance sans doute, sans toutefois me tromper dans l'esprit plutôt que la lettre de ladite citation).
Une CRITIQUE, entendez-vous ?
Gardez donc votre morgue de prétendu philosophe et faites votre boulot, de philosophe justement : faites accoucher le sage que, pauvre idiot, je n'ai toujours pas découvert en moi.
Simone, je ne confonds rien mais, en revanche, je n'ai strictement rien compris à votre blabla : qu'est-ce qui justifie quoi ? Pourquoi mon narcissime me ferait-il confondre folie et dérèglement de tous les sens ? Me prendrais-je donc pour Rimabud, diable, de nouveau ! Expliquez un peu mieux voyons, faites oeuvre de dialectique, nous sommes après tout assis ici sur les bancs d'une école, non ?, avec en plus un ombrageux professeur qui ne distribue les bons points (coquin, va) qu'à ses seules élèves. Seulement, moi, dans le genre boudeur, on ne fait pas mieux, un vrai emmerdeur qui peut, en trente secondes, pourrir le gentil ordonnancement (tic, tac, tic...) d'une petite classe helvétiquement appliquée...
Alors monsieur le Professeur, allez-vous daigner en quoi j'ai osé émettre poncif et avis ?

Écrit par : Stalker | 11/06/2005

Et pourtant, je vous l'ai dit déjà, on vous aime, vous aussi, Stalker. Ici c'est un échiquier, chez vous c'est un labyrinthe, rien n'empêche de jouer sur l'un et dans l'autre !

Écrit par : Une élève buissonnière | 11/06/2005

Tssss, tssss, ma chère, laissez donc répondre notre professeur émérite, qui saura bien se sortir comme un grand garçon qu'il est de cette redoutable chausse-trappe.
La Zone est AUSSI un échiquier, les coups y pleuvent, parfois mûris de fort longue date...!

Écrit par : Stalker | 11/06/2005

Si vous gnothiseautonisez, Stalker, point besoin d'auxilliaire. Idiot ? Parfait, vous avez donc un point de vue. N'est pas idiot qui veut, malheureusement, c'est-à-dire singulier. Car l'idiot, n'a pas d'opinion, mais, s'il réfléchit son point de vue, il devient concept. Ce qui n'est pas peu. Sachez bien, Stalker, si je peux au moins en ceci vous être utile, qu'il faut tâcher de ne pas se croire à l'école partout. Nous ne sommes pas dans une salle de cours, et d'ailleurs ce qui s'y passe, à part ce que vous faites, n'y ressemble guère. Ah, je vous imagine, tout penaud et hystérisé dans un face à face dialectique avec le maître. C'est bien dommage. Car de critique émérite, vous passeriez à créateur, ce qui serait ajusté. Et certainement plaisant pour chacun et tous. Quant à moi, je ne professe pas mais expérimente. Je philosophe donc, et ne me paie pas de verbiage. Je n'évoque ou ne cite que ce que j'expérimente. Ni ouï dire, ni connaissance vague. Concaténation et des affects et des concepts. Accompagnement vital et non pas production qui tire à la ligne pour une finalité étrangère au processus. Môssieur, vous n'avez pas le monopole du coeur ! Bon, de toute façon, la polémique me semble stérile et révélatrice d'esprits dans l'impasse ou s'ennuyant gentiment. Ou alors un jeu complice. Mais, vraiment, là, j'ai autres choses à faire, et dangereuses, même si cela vous amuse, et explique mon agacement. Je sais que vous savez que ma maïeutique donne des résultats concrets. Simplement, je ne vous ai pas choisi comme disciple. Pour que l'idée puisse être envisagée, envoyez-moi un texte qui ne soit pas critique. S'il y a espoir, nous verrons ensuite quand le moment propice se présentera. Au fait Juan, il y a d'autres moyens de rentrer en contact que vos coquetteries. Enfin Juan ! Oui, poncifs. Demeny recevait d'autres missives que celles que vous laissez ici ; cela, vous me l'accorderez je pense. Nous avons bien ri, mais, maintenant, saluez pour moi votre ami Moury et au travail !

Écrit par : Anaximandrake | 11/06/2005

Diable, une nouvelle fois, vous ne professez pas, vous expérimentez et concaténez ! Quoi donc, le tapage ovarien de quelques belles bouches esseulées ? Je ne comprends guère en quoi votre maïeutique donne des résultats concrets et puis, voyons, quel piètre vocabulaire de gaveur d'oie : soyez donc, pour une fois, plus clair, je suis beaucoup moins sensible aux allusions éthérées que les petites canes qui paraissent vous suivre à la queue-leu-leu, vous connaissez l'étymon ce me semble, ici du caniche savamment dressé plus que du loup.
Je suis parti d'un immense rire en apprenant que vous ne m'aviez pas choisi comme disciple ? M... alors ! Sans blague mon raide mentor, sortez-moi donc de mon idiotique solipsisme. Je ne savais pas, depuis mes lectures de Deleuze déjà lointaines, que l'exercice de le pansée (je laisse la faute) pouvait être une franche rigolade... En fait de relation maître/disciple, je préfère lire un bon Kierkegaard (ceci pour en taquiner une, de vos cailles...) que de m'amuser par interface virtuelle avec un masque, lui aussi virtuel puisque, mon anonyme, vous n'êtes rien pour moi, en tout cas pas grand chose, vous l'avez dit, qu'une coquetterie.
Ah oui belle âme, deux petites choses encore : je n'ai rien vu, sous votre stylet stochastique, qui puisse de près ou de loin ressembler à de la création et, si vous n'en voyez guère sous le mien, par exemple dans les extraits de Judas, que voulez-vous que je vous dise : vous ne savez tout simplement pas lire, ce qui n'est tout de même pas le cas, fort heureusement, de certaines de vos protégées.
Il est vrai que, dans sa médiocrité tranquille toute platement professorale, Demeny était au moins cela : un grand lecteur de son fulgurant élève.
Je vous laisse à vos accouchements, ne pouvant guère je crois vous aider, tant je suis secoué de rires, dans votre tâche insigne : méfiez-vous cependant des beuax phocomèles qui risquent de sortir des flancs gravides de ces louves... L'un pourrait bien, tant ces bestioles-là sont peu coutumières des usages de la politesse, mordre tel organe le plus saillant de son bon docteur, je parlais de vos pieds on s'en doute.

Écrit par : Stalker | 12/06/2005

Pour ces lieux dont j'ai besoin parmis d'autres.

Ce que j'y trouve, sincèrement:

"L' étude engendre la connaissance. La connaissance suscite l'amour. L'amour dévoile la ressemblance. La ressemblance produit l'abondance encore nommée communauté ou familiarité. La communion génère la confiance. La confiance la vertu. La vertu la dignité. La dignité la puissance, et la puissance réalise le Miracle."

(Gérard Dorn, "Theatrum chemicum")

Je le dis, Anaximandrake est un philosophe opératif et un artiste en devenir.

Respectueusement.

(Evohé!)

Écrit par : LKL. | 12/06/2005

Stalker, c'est vrai, les extraits de Judas... Mais, même autour de la croix, vous y tournez, en rond. Quant aux maïeutiques, elles sont créations réelles de réelles présences. Mais ceci, dans votre zone virtuelle, pourtant trouée par le réel, vous ne pouvez que le peindre. A moins de franchir le Styx. Sachez que c'est un anti-Léthé. Vous comprendriez si vous aviez au moins une once du courage de celles et ceux que vous insultez ici. Espérons que vos rires signent le début du travail de votre naissance à vous-même. Je vous assure, vous avez ici à lire qui pourrait vous éclairer. Soyez prudents, ce sont des principes actifs, des processus opératoires, et non flatus vocis ou masques d'opéra. Allez Don Juan, allez voir le commandeur une bonne fois pour toutes, vous pourriez ainsi nous revenir créateur réel, et non plus critique théâtral. Pas besoin d'un plat professeur pour cela. Et puis je suis sûr que vous en avez eu. Quant à moi, je ne suis pas de cette race-là, ni d'aucune d'ailleurs. Singulier. Vous, idiot ? Non, mais vous pourriez l'être. Caniche ? Voyons, Stalker. D'ailleurs et en règle générale, vous n'êtes vraiment pas discret. En tous lieux, vous exhibez à chacun vos fantasmes. Qu'ils ne vous soient pas reflétés n'impliquent pas qu'ils ne soient pas perçus et synthétisés. Plongez. Vous n'avez pas besoin de maître nageur, j'espère ?
Ah, j'y pense... Franchement, Kierkegaard, c'est comme Kafka, c'est un comique absolu.
Vous m'avez fait sourire franchement, ce qui, en ce moment, n'est pas luxe pour moi. Allez, bon courage à vous, Stalker.

Merci à vous LKL. Sachez que j'attends toujours avec impatience votre traité des couleurs.

Écrit par : Anaximandrake | 12/06/2005

Bien bien bien, nous avançons ce qui, excusez du peu, n'est tout de même pas facile avec vous.
La croix, je tourne autour, ce qui présuppose déjà, dans mon esprit, l'idée d'un centre, que je n'ai certes pas perçue chez vous.
C'est drôle comme, sous votre plume rigide, je lis les arguments que j'ai déjà lus sous une autre : lance-toi petit, trouve ton gouffre. Blabla que tout cela : vous me demandez d'écrire, ce que je fais, il me semble, à longueur de journée, explorant chacune de mes crevasses (je les connais toutes) avec un sens de l'équilibre qui ferait pâlir d'envie un sherpa. J'écris, c'est sûr, y compris lorsque je deviens critique mais... vous ? Qu'écrivez-vous ? Des citations d'autrui ? La belle affaire, ne me fatiguez pas les oreilles avec votre maïeutique pour garçon coiffeur car, permettez-moi d'être franc et, pour une fois, rigoriste traçeur de frontières : soit vous êtes un philosophe (je les respecte), soit vous êtes un professeur de philosophie (je les respecte beaucoup moins, en ayant flairé quelques-uns de très près). Je ne vois pas d'alternative et, si vous n'êtes pas cela, vous n'êtes rien, rien d'autre, peut-être, qu'un penseur virtuel, ce qui est peu, même à mes yeux pourtant peu fermés aux fantômes.
Je ne méprise aucune voix, croyez m'en, je me moque en revanche de vos échanges qui, à mes yeux, sont moins clairs (et surtout infiniment moins poétiques et drôles) que ceux d'Alice au pays des merveilles, voilà tout puisque, ici comme ailleurs, je juge sur pièce : on me dit d'écrire, voyez, je ne suis vraiment pas méchant, j'écris... Certes mais pardon, cher monsieur, gentille madame : qu'écrivez-vous, vous ?
Oh rien voyons, je complimente, je félicite, je maïeutique puis je donne la tétée philosophique...
Ah oui, dernier point : que vous trouviez comique les deux K, voilà qui n'est rien de plus qu'un avis, et profondément stupide, monsieur l'anti-avis. Curieux là aussi, j'ai déjà entendu cela, à peine plus argumenté que sous votre stylet de moins en moins pointu.
Vous m'avez habitué à mieux cher Anaximembré (le prochain, ce sera avec le chêne de Mambré, c'est cela les poètes, peuvent pas s'empêcher de jouer avec le langage), reprenez-vous.

Écrit par : Stalker | 12/06/2005

A lire les deux K, je ris, souvent aux éclats. Est-ce un avis ?
Vous savez, cher Stalker, votre respect ne m'intéresserait que si vous aviez le vôtre. Que vous soyez juge de ma condition de philosophe, d'anti-philosophe, de sophiste, de disciple d'Hippias, de 'pataphysicien etc. révèle une fois de plus vos fantasmes qui, me semble-t-il, prennent beaucoup de place dans votre comprenette. Prenez moi donc pour Plethos, à défaut de me prendre pour Nemo. Alors, comme ça, on contrôle les identités ? Voyons, ce n'est pas raisonnable Stalker. Surtout, vous avez mieux à faire. On vous l'a dit et répété, votre avis, et surtout en ces matières, on en rit quand on en a le temps. Parce qu'on a une vie. Vous voulez avancer ? Bien. Vous n'avez pas besoin de moi, c'est-à-dire de guide. Et puis laissez donc mon stylet tranquille. Qu'est-ce que c'est que ces manières ?
Pour les citations, si vous ne saisissez pas leur pertinence, c'est à dire le kairos, ce n'est pas ainsi que vous y parviendrez. Je vous l'ai dit. Pertinence ce n'est pas production et mise sur le marché. L'art, au moins, n'a rien à voir avec cela.
Plus que de philosophie, vous avez d'abord besoin de physique, et peut-être plus précisément d'optique. Commençons donc par la base.
Soit un cercle de centre O. Soit un point S qui décrit le cercle. Nous avons S, S', S'',..., S(n) etc. Seulement, sachons que SO=S'O=S"O...=S(n)O.
Je vous conseille vivement le point O pour d'autres aventures. Ce n'est pas grave, juste la fin de l'orbite qui reste. Ce qui se dit aussi : il ne s'agit pas, dans l'ombre, de refléter, mais, dans la lumière, de distinguer. Vous dites vous connaître en détail. Parfait. Si vous écrivez tant et si bien, retournez-vous Stalker. Et ouvrez les yeux. Ici, insérons ma récente citation de Schiller.
Je vous rappelle, en coda, sans venin, que Socrate n'écrivit rien, mais dialogua. Platon informaticien ?
Oui, reprenez-vous. Face à face. Entre quatre yeux.

Écrit par : Anaximandrake | 12/06/2005

Non seulement il contrôle les identités mais en plus il les usurpe.

Il vous a d'ailleurs copieusement insulté en mon nom sur un autre blog.

Asensio ou les méthodes d'une crapule.

Écrit par : Newbie Ocean | 12/06/2005

Tiens, l'immondice est de retour.
Va plutôt nous raconter tes performances avec ta 58ème fille, rêvée plutôt que bien réelle, nabot incapable de comprendre la moindre phrase.
Bien.
Anaximembraque, je crois que vous êtes un... plaisantin. Rien de plus, cela fera peut-être quelque peine à celles qui dialoguent avec vous, ou croient le faire, mais je ne vois guère de mot convenant plus précisément à ce que vous écrivez.
Pas l'ombre d'un argument dans ce pourtant court dialogue que vous me tenez : que savez-vous, ainsi, du fait que je tourne ou pas autour de Dieu ? Bêtise absolue car, s'il est Dieu n'est-ce pas, j'aurais bien du mal à lui tourner autour, d'un lieu improbable qui ne serait pas lui. Je veux bien m'acheter des lunettes mais, de grâce, fouillez donc dans votre malle, quelque catéchisme basique doit bien traîner.
Socrate n'écrivit rien, certes, mais ne me dites pas que c'est là ce que vous tentez de faire, si ? Voyons, en comparaison de l'implacable clarté des propos de Socrate, les vôtres paraîtraient obscurs à un Wittgenstein ou à un Oppenheimer, pourtant amateurs de diaboliques rébus : fausses complications chez vous qui cachent sans doute cela, vous n'avez pas grand chose de bien simple à dire, encore moins à écrire.
Finalement, je crois bien que vous êtes, vous aussi, vous d'abord, d'un comique absolu mais que personne n'a vraiment osé encore rire en votre présence, sauf NO qui, de toute façon, rigole, imbécile qu'il est, devant une blague de Coluche...
Un guide, vous êtes un guide ? Pour aveugles ? Sourds ? Non : sourds et aveugles ? Mais que font-ils donc devant leur écran dans ce cas...
Perdez donc votre calme l'ami stylite et ne me parlez de queue ni de venin, je suis immunisé contre bien des morsures. Mais... vous ?

Écrit par : Stalker | 12/06/2005

Toujours la même antienne, les mêmes aboiements avec votre voix de fausset. Morsure ? Mordez !
Que voulez-vous ? Le savez-vous au moins ?
Au fait, vous l'éminent lecteur, comment cela "tourner autour de Dieu" ? Je vous parlais de la croix. Voilà. Peut-être pourrez-vous avancer un peu plus loin.
Je ne prétends rien, contrairement à vous. Et surtout pas d'être Socrate. Si vous saviez lire, ces erreurs de débutant, vous les auriez évitées. Ah, le mat du berger, toujours aussi efficace... Je vous l'ai dit, ces rires, ces spasmes peuvent être un signe de votre auto-parturition tardive (il n'est pas tout jeune pourtant l'animal...). Faites donc ce que vous avez à faire si vous trouvez de quoi il s'agit. Vous êtes dans une cage. Démontez-la, décodez-la. Mais ce n'est pas en grognant qu'on vous aidera à le faire.
Sinon, que faites-vous ici ? Ma nullité n'a pas besoin d'un si bon prophète, Stalker. Il s'agit de privilégier la puissance à la prétention. Car la puissance de la prétention, elle ne vous aide pas beaucoup, Stalker. Quant à la clarté ou à l'obscurité, relisez donc Pascal. Trop de lumière aveugle. Le sot croira être dans l'ombre. Mais l'optique, également, nous enseigne que les interférences d'ombres peuvent produire lumière. En parlant d'ombre d'argument, comme vous dites, en l'espèce et chez vous, je ne vois qu'insultes fort peu enlevées. Ah oui, vous prétendez aussi parler à la place d'Oppenheimer ou Wittgenstein ? Avant de viser si haut, tentez d'abord de répondre à ce qui vous est opposé. Diantre, je suis un plaisantin si vous voulez. Votre avis, encore... Il changera avec le vent.
Allez, plutôt que faire le coq hystérique à la voix enrouée et à l'inspiration en berne, posez votre question dignement ou passez votre chemin si vous n'avez rien à dire. Car là, vous polluez les commentaires et vous enfoncez encore davantage dans votre tristesse.

Écrit par : Anaximandrake | 12/06/2005

Dommage, je crois décidément que vous ne comprenez pas grand chose. On m'avait vanté vos grandes capacités intellctuelles. Relisez donc ma première intervention, suite à votre citation de Scholem : son intention était pourtant claire... Je vais donc faire comme vos petits copains et vous poser la rituelle et stalinienne question : d'où parlez-vous ? Quel intérêt y a-t-il à citer hors contexte Scholem, sans la moindre notule explicative et en laissant croire à vos lecteurs bien des choses qui, sans doute, avec une explication de votre part, disparaîtraient de leur esprit ? Faites donc votre boulot intellectuel monsieur le socratique entoilé et, ensuite, vous pourrez me demander des arguments, ce qui, pour l'instant, n'a pas exactement semblé devoir être votre point fort. Flou, pérpiphrases et petite tape sur mon époule de mauvais potache, voilà qui n'est tout de même pas de la pensée de bien haut vol...
Ah oui, comme décidément vous ne comprenez pas grand chose, je citais Wittgensteine et le père de la Bombe pour... vous. Mais vous allez sans doute me faire croire que Socrate et une brochette de grands esprits, s'ils avaient eu l'immense chance de vous lire, vous eussent trouvé stimulant...
Plaisantin et prétentieux, mais ce n'est là qu'un avis, une fois de plus... Ce que je voulais ? Voyons, dois-je vous le dire, vraiment ? Quel était le sens de votre écriture. Si j'avais un être de chair plutôt qu'un moulin à sophismes devant moi, vous questionner, justement, sur un usage à mon sens malhonnête de la citation, des citations. Contextualisez.
Je vous laisse à vos petits élèves disciplinés qui ne pollueront il est vrai strictement rien.

Écrit par : Stalker | 13/06/2005

Je vais finir par croire que vous êtes borné, Stalker.
Je vous l'ai dit, questionnez si vous le voulez. Mais il semble bien que vous soyez incapable de formuler une question, de penser une problématique. Pour le reste, à part des insultes éculées, une sorte de "c'est celui qui le dit qui y est" puéril et qui n'est même pas digne d'un plaisantin un peu éveillé, je vois que vous êtes inapte à l'argumentation. Mes capacités intellectuelles, comme vous dites, n'ont rien à moudre que le vent qui vous agite en tous lieux.
Contextualiser ? Elève ? Une fois de plus (avec vous, qui paraissez fort lent, on passe son temps à répéter, et il vous faudrait sans doute, pour le coup, un répétiteur) nous ne sommes pas ici dans ce schéma. En sortir, peut-être, vous ferez du bien. Je vous l'ai dit, sourd que vous êtes, soyez prudent. Vous ne cessez de vous exposer. Car être dans l'incapacité de concevoir autre chose que des rapports asymétriques vous pose dans votre impuissance.
Ma chair ? Elle se porte fort bien. Merci et bon courage. Il vous en faudra.

Écrit par : Anaximandrake | 13/06/2005

Bien, puisque décidément, outre votre prétention, vous ne comprenez pas grand chose, je m'adonne au plaisir du copier-coller et répète : "Ce que je voulais ? Voyons, dois-je vous le dire, vraiment ? Quel était le sens de votre écriture. Si j'avais un être de chair plutôt qu'un moulin à sophismes devant moi, vous questionner, justement, sur un usage à mon sens malhonnête de la citation, des citations. Contextualisez."

Plusieurs questions il me semble, sans la moindre insulte. Vous savez faire le coq, du haut de votre sécheresse de colonne de sel mais... savez-vous bien lire ? Commencez par là, c'est le premier boulot du philosophe mais je doute fort que vous ayez quoi que ce soit à voir avec celui-ci.
Votre chair ? Saponifiée, moins peut-être que votre langue.
Bon courage.

Écrit par : Stalker | 13/06/2005

Ma chair, saponifiée ? Voyons, Stalker. Un peu de tenue. Vos fantasmes s'envolent de nouveau. Je vais finir par bien vous connaître, comme un médecin connaît son patient tout au moins.
Le sens de mon écriture ? Alors que vous me reprochiez de citer de manière décontextualisée ? Vous êtes fort vague, Stalker. Vous avez l'esprit brumeux. Je ne vous lis malheureusement que trop bien. Je vous accorde que, bien que ne sortant guère du domaine moral sinon pour retourner le qualificatif, vous avez baissé d'un ton. Bien. Quels sont donc vos critères pour la citation ? Et comment les justifiez-vous ? Il s'agit d'argumenter votre position puisque vous prétendez à ce que se valeur ne soit pas purement particulière à votre pratique. Donc, en quoi mon usage de la citation est-il malhonnête ? Corollaire : qui est prétentieux ? En effet : qui prétend sinon vous-même ? Si donc vous prétendez qu'il convient de subsumer un cas sous une règle, exhibez la règle, si vous le pouvez bien sûr. Sinon, je me demande bien dans quelle position vous croyez être. Encore du fantasme. Il faudra, si c'est le cas, qu'aussi, vous précisiez cette position hallucinée. Faites donc preuve de puissance de définition.
De même, je vous demande, encore et toujours : pourquoi ce besoin de contextualisation? Tournez-vous en rond ? Autour de quoi ? Seriez-vous perdu ?
Merci pour le courage, car même le plus vaillant en nécessite toujours.

Écrit par : Anaximandrake | 13/06/2005

Je hais, décidément, la peste blanchâtre de ces agioteurs, de l'agioteur que vous êtes. Cessez donc de tourner autour du pot et répondez-moi, bon sang, vous commencez à me fatiguer et je ne suis certes pas l'un de vos petits élèves ou prétendus tels à qui vous jouez de la clarinette...
Reprenons ; ne jouez pas au petit malin, pas avec moi, on ne vous l'a pas dit ? Lorsque je vous demande le sens de ce que vous écrivez : oui, certes, l'expression est vague mais vous l'avez je crois parfaitement comprise. En traduction anaximandrienne : que vouslez-vous faire avec votre blog ? Voilà ce que je ne puis deviner. Ne me retournez pas la question, de grâce : je dissèque, je critique, je mets en relation des auteurs (presque tous littéraires, je ne parle que de ce que je connais) et des thématiques et, surtout, les meilleurs lecteurs l'ont compris, j'expose une démarche personnelle d'écriture et de quête, au travers certaines expressions artistiques hantées par le Mal, du divin. De grâce encore, ne venez pas me chauffer les c... en me demnadant des définitions. De grâce, vraiment, vous êtes adulte et, paraît-il, intelligent même si je commence à en douter, vue la longueur de cet échange dont ma première question était pourtant fort claire.
La citation maintenant... Mon Dieu, quelle lenteur occiputale ! Lorsque je cite, je donne mes sources, ce qui est le respect MINIMUM que je puis donner à mon lecteur. Vous ? Scholem démerde connard. Or, voilà bien ce qui me scandalise, je connais suffisamment cet auteur pour deviner le contexte duquel est trait ce passage et qui ne peut, chez lui, qu'avoir rapport avec ceci : Dieu, ou plutôt, une sphère mystique, fût-elle retournée comme avec son cher Sabattaï Tsevi.
J'aime assez que l'on donne les sources : comme vous ne le faites pas, n'importe quel péquenot peut mal interpréter cette citation, par exemple, ce qui est votre ridicule tendance, dans un sens UNIQUEMENT psychologique, dont Scholem se moque comme de sa première paire de mocassins.
Je ne tourne autour de rien, je creuse, mets en rapports, quitte à me perdre. Vous ? Du vent, un peu de blanc, une pincée de jaune, un doigt de vert pomme et après, coup de baguette magique : un petit texte de quelques lignes, ramassé comme une pelotte de hibou, sur laquelle les poulettes picorent un maïs pas même transgénique, simplement frauduleux.
Ah oui, last but nor least : vous m'emmerdez fort avec votre vocabulaire fantasmatique.
Gardez vos catégories pour celles et ceux que vous allongez sur votre divan.

Écrit par : Stalker | 13/06/2005

Sept fois mouché et il revient encore : Mais qui est ce Stalker sur son tréteau ?

Écrit par : Briggs | 13/06/2005

Mouché par qui dugland ?
Les mouches, c'est le nuage noir et bleu qui s'agite drôlement autour de toi ?

Écrit par : Stalker | 13/06/2005

"COMMENT ANAXIMANDRAKE FIT APPARAITRE LA VERITE."

"Les lois par elles-mêmes ne rendent pas les gens meilleurs, dit Anaximandrake au Roi; ils doivent pratiquer certaines choses pour arriver à s'accorder avec la vérité intérieure. Cette forme de vérité ne ressemble que très légèrement à la vérité apparente."

Le Roi décida qu'il était en son pouvoir- et de son devoir- d'obliger les gens à observer la vérité. Il saurait bien les forcer à pratiquer la sincérité.
Or l'on pénétrait dans la ville par un pont; il y fit édifier une potence et le lendemain, à l'aube, lorsqu'on ouvrit les portes de la cité, Stalker, le capitaine de la garde, avait déjà posté ses hommes de façon à contrôler toutes les entrées.

L'avis suivant avait été placardé:

"CHACUN SERA INTERROGE. S'IL DIT LA VERITE, ON LE LAISSERA ENTRER. S'IL MENT, IL SERA PENDU."

Anaximandrake, s'avança.

"Où vas-tu? demande Le Stalker de la garde
-Je veux être pendu, prononça lentement Anaximandrake.
-Nous ne te croyons pas!
-Très bien! Si j'ai dit un mensonge, pendez-moi!
-Mais si nous te pendons pour avoir menti, tes paroles deviendront la vérité!
-Exact: maintenant vous savez ce qu'est la vérité- VOTRE vérité!"

Écrit par : Histoire carambar à deux balles | 13/06/2005

Tu dis quoi, Juan ? Caille ? Tu veux une claque ? Non mais je rêve ! Quand vas-tu cesser de regarder les relations humaines comme une file indienne derrière un grand homme ? Il a raison. Saute. On peut fort bien développer une pensée mystique sans l'aide de ce que tu nommes dieu. Ce concept merdique fout ta belle progression intérieure en l'air. J'ai déjà essayé de t'envoyer chez Spinoza, mais tu t'accroches à ton Danois comme à une bouée (percée), allons ! Courage ! Anaximandrake, envoyez, écrivez ! J'espèrais, jour après jour, à nouveau vous entendre en public, et cette voix plus terrienne me réchauffe. Pourquoi gardez vous encore votre pseudo et ce fichu miroir, vous êtes, nu, si séduisant...
Messieurs... pardonnez cette interruption buissante des soies de mon jupon.

Écrit par : Marie-Cécile | 13/06/2005

LA VALEUR DU PASSé

Stalker chargea un jour Anaximandrake d'entreprendre des recherches sur les connaissances possédées par les maîtres mystiques et kabbalistiques de tout accabits. Tous lui rapportèrent les miracles accomplis et les paroles proférées par les fondateurs et les grands maîtres, depuis longtemps disparus, de leurs écoles respectives.

Lorsqu'il fut de retour, Anaximandrake soumit son rapport- qui tenait en un mot:"CAROTTES".

Sommé de s'expliquer par Stalker, il lui dit alors:

"La meilleure part est enterrée, rare sont ceux qui savent en dehors du fermier qu'il y a de l'orange sous la terre, à la vue des feuilles vertes; si l'on ne travaille pas, cela se déteriore; enfin, un grand nombre d'ÂNES sont associés à l'affaire."

Écrit par : Histoire carambar à deux balles | 13/06/2005

Blablabla. Grand homme ? Pas un mais plusieurs : les regardez, les admirer et non pas les vénérer, voilà ce qui m'évite de dire un sacré paquet de bêtises. Mystique sans Dieu ? Ah bon ? Sans blague ? C'est nouveau ? Ouais remarque, cela exiete : j'appelle cela un fanatique. Probable que tu ferais moins la grande gueule face à un de nos gentils barbus. Concept ? Nouvelle connerie, tu nous y habitues MC, garde ton vocabulaire pour les oreilles de ton philosophe nu qui, s'il a le physique de son écriture, doit être plutôt... étique, voire transparent. Un homme de verre, c'est cela, pour une femme de glace, belle rencontre dites-moi.
Sauter ? Et vous, qu'attendez-vous plutôt que de vous tripoter ? Vous écrivez me dites-vous ? Ah bon ? J'vois pas moi... Où cela ?
C'est cela l'ombre, tombez donc le masque, j'en ai assez de parler avec l'ectoplasme que vous êtes.

Écrit par : Stalker | 13/06/2005

"L' ECHANTILLON"

Un jour qu'il était assis dans son école de sagesse, Anaximandrake fut impressionné par la rhétorique d' un érudit de passage nommé Stalker. Contesté sur un point par Anaximandrake, le sage tira un livre de sa poche et le jeta sur la table:

"VOICI MA PREUVE! ET C' EST MOI QUI L'AI ECRIT!"

Un homme qui non seulement savait LIRE mais savait AUSSI ECRIRE, c'était un événement! Et un homme qui écrit un livre! Les sages élèves témoignèrent au pédant le plus profond respect.

Quelques jours plus tard, Anaximandrake entra dans son école de sagesse, et demanda au Stalker toujours là à faire chier s'il voulait acheter une maison, parce qu'il était un peu lourd de rester sans être invité .

"-Parle-nous un peu de cette maison, lui demande le Stalker méprisant, je ne savais même pas que tu en possédais une.
-Les ACTIONS pèsent plus lourd que les mots!" s'écria Anaximandrake.

De sa poche, il sortit une brique et lui envoya dans la tronche.

"Voici ma preuve. Voyez ce qu'elle vaut. Et j'AI CONSTRUIT LA MAISON MOI-MÊME."

Écrit par : Histoire carambar à deux balles | 13/06/2005

"LES CIRCONSTANCES CHANGENT TOUT"

La pluie tombait à verse. Stalker, l'homme le plus cagot de la cité, courait à la recherche d'un abri.

"-Comment oses-tu fuir ainsi la magnificence divine- l'Eau du ciel?" lui lance Anaximandrake d'une voix tonnante. Un dévôt de ton espèce devrait savoir que la pluie est une bénédiction pour toute la Création."

LE STALKER TENAIT BEAUCOUP,BEAUCOUP A SA REPUTATION.

"Je n'avais pas regardé les choses sous cet angle", marmonna-t-il. Il ralentit le pas et arriva chez lui trempé jusqu'aux os. Et bien sûr, il avait pris froid.

Peu de temps après, alors qu'il était assis à sa fenêtre, enveloppé dans des couvertures, Stalker aperçut Anaximandrake qui se sauvait à toutes jambes sous la pluie. Il l'interpella:

"-Pourquoi refuses-tu les bienfaits que Dieu prodigue, Anaximandrake? COMMENT OSE-TU REPOUSSER DU PIED la GRÂCE que cette pluie répand sur toi,
-Mais enfin, s'écria Anaximandrake, tu n'as donc pas compris que je ne veux pas la souiller avec mes pieds!"

Écrit par : Histoire carambar à deux balles | 13/06/2005

C'est très simple Stalker : tu es con.

Écrit par : Newbie Ocean | 13/06/2005

L' IDIOT

Stalker, un grand écrivain qui voulait "discuter" avait pris rendez-vous avec Anaximandrake. Il se rendit chez lui et ne trouva PERSONNE.

Furieux et plein de haine, il se saisit d'un morceau de craie et écrivit sur la porte d' Anaximandrake: "IDIOT STUPIDE".

Dès qu'il fut de retour et qu'il lut ces mots, Anaximandrake se précipita chez le Stalker:

"J'avais oublié, lui dit-il, que vous deviez me rendre visite. Et je vous prie de m'excuser pour mon absence, je donnais à manger à mon âne. Naturellement, je me suis tout de suite souvenu du rendez-vous quand j'ai vu que vous aviez laissé votre nom sur la porte."

Écrit par : Histoire carambar à deux balles | 13/06/2005

La Rochefoucauld disait qu'on aimait souvent ceux qui nous admiraient mais qu'on aimait rarement ceux que nous admirions. Quels commentateurs vipérins vous êtes Newbie et vous Carambar. Le Stalker vous en imposerait-il autant qu'Anaximandrake?
Comme c'est désolant ces injures... La réplique, même la plus virile, ne doit-elle pas conserver quelque "aristocratique" respect des forces et faiblesses de son adversaire?

Écrit par : Kate | 13/06/2005

Eh bien, quel vent de folie... Ah, Carambar, des histoires juives, c'est parfait... Pour le reste, on aperçoit, entres autres choses plus légères, quelques scatologies peu amènes, et un blocage à l'existentialisme. Les raisons sont claires pour un honnête lecteur de projections fantasmatiques. Passons. Notons néanmoins que toute philosophie de l'immanence - et il y en a plus d'une, ici et en Asie par exemple - est une mystique sans dieu. Ces philosophies sont diverses, varient et s'opposent, mais s'accordent sur le fait que la transcendance, du sujet ou de l'objet, est masque de tristesse et d'impuissance.

Donc : tout ça pour ça. Arrêté et contrôlé par le douanier borgne Stalker (prenons au sérieux un instant ses rêves tourmentés) l'accouchement fut long et donna un résultat bouffon. La référence, voilà ce qu'il voulait. La demander simplement eut été trop simple. Il lui fallait quelques lourds assauts pour, essoufflé, la souffler, étourdi par la véronique.
Magnanime, nous épargnerons l'occiput et rangerons l'épée. Pas de boucherie à l'entraînement.
La zone un labyrinthe ? Celui des pas désorientés de l'animal dans le sable de l'arène ensoleillée. Pour le reste, ballon de baudruche dont il vaut mieux éloigner les stylets, par charité.

Écrit par : Anaximandrake | 13/06/2005

Chère Kate,

Stalker est un imposteur, un imbéicle à la pensée si limitée (il est absolument incapable de concevoir l'existence d'un monde en dehors de son petit nombril) que je le qualifie comme il convient : un con.

Sachez d'autre part que ce type s'emploie à laisser des messages d'insultes signés de mon nom sur de nombreux blogs, afin de me "discréditer" (comme s'il m'importait d'avoir le moindre "crédit"... contrairement à lui, justement). Ce type de manoeuvres dénote un mécanisme de pensée retors, pour laquelle le qualificatif de "con" me semble tout à fait approprié.

Écrit par : Newbie Ocean | 13/06/2005

Un imbécile, pardon, je manie mal l'insulte.

Écrit par : N.O. | 13/06/2005

Kate(?).

Je ne suis PAS un "commentateur", ni une "poule", ni un névrosé de divan, ni un "petit élève suisse en classe d'horlogerie", ni un admirateur de la nouille de "Salker" (faut calmer le piston un peu...), ni un garçon de café, ni même un type cultivé qui se la raconte avec des blabla littéraires sans puissance dont je n'ai strictement rien à battre et des Judas machin truc.

Je suis un type qui n'aime pas se faire insulter gratos. Ok l'Aristo? (en se qui concerne ma "virilité", je ne vais pas m'amuser à faire le coq pour vos yeux beaux, j'ai bien d'autres choses à faire).

Tenez, un petit carambar qui colle les dents. Allez, risette au vilain vipéreux.Tsssss,Tsssss...

Et une petite dernière blague à deux balles pour la route.

"INQUISITION"

"-Je te ferai brûler, dit Stalker qui avait entendu parler de l'enseignement d'Anaximandrake, si tu ne peux me PROUVER que tu es un mystique.
-Je vois des choses étranges, dit aussitôt Anaximandrake: un oiseau d'or dans le ciel, des démons sous la terre...
-Mais comment peux-tu voir à travers la matière solide? Comment peux-tu aussi voir dans le ciel?
-la PEUR SUFFIT!"


Bien à vous Anaximandrake. Merci pour les anciens textes.

Vade valeque.

Écrit par : Histoire carambar à deux balles | 13/06/2005

Vous permettez Anaximandrake?

Newbie et Carambar, je ne prends ni ne défends aucun des interlocuteurs. Notre hôte comme le Stalker ont la plume suffisamment agile pour se répondre comme bon leur semble. Non seulement, j'estime qu'il ne NOUS appartient pas, à aucun d'entre nous, d'intervenir dans LEUR partie de ping-pong, mais je trouve navrant d'attaquer l'auteur lorsque le débat d'idées s'échauffe.

Newbie, quand bien même vos griefs seraient fondés, il me semble que la civilité commande que vous vous adressiez directement et en privé à l'auteur de votre injure plutôt que sur la place publique.

Quant à vous Carambar, qui m'attaquez, vos commentaires démontrent bien que vous avez l'ergot du gaulois qui, bien qu'il dise ne pas vouloir pavaner (devant la poule (de luxe, tout de même), la caille, l'oie - bref la basse-cour y passe pour le bonheur d'Escoffier - qu'on voudra que je sois), ne peut s'empêcher d'hérisser la crête pour des vétilles. Sans rancune.

Anaximandrake, la prochaine fois vous offrez les tomates? (sourire)

Écrit par : Kate | 14/06/2005

"Newbie, quand bien même vos griefs seraient fondés, il me semble que la civilité commande que vous vous adressiez directement et en privé à l'auteur de votre injure plutôt que sur la place publique".

Faites-en de même.

Écrit par : Newbie Ocean | 14/06/2005

Mr No n'est peut-être pas de très bonne foi vis-à-vis de la noble et coruscante Kate que je ne voudrais atteinte par aucun projectile.

Bien à vous tous.

Écrit par : Anaximandrake | 14/06/2005

Anaximamba, je vous l'ai dit, rappelez à l'ordre cette sous-merde de NO : me faire traiter de c... par ce glaviot d'âne, c'est tout de même quelque chose. Kate, ne vous fatiguez pas, le propre de l'internet, avec ces imbéciles anonymes, est que ceux qui n'avancent pas masqués y perdent leurs forces.
Carambar ? Pauvre crétin : donne-moi un nom couillon et une large main de basque s'applatira sur ta gueule de nasique. A moins que tu préfères un usage moins "régulier" de mon poing ?
J'en ai assez du reste d'être mordu aux chevilles, je quitte ce ring pour nabots.

Écrit par : Stalker | 14/06/2005

La cloche a sonné, mais décidément et malheureusement, c'est celle de la cour de récréation. Ma protection ? Mais ici ce n'est ni un préau, ni un ring, ni un clocher, mais une zone franche. Cher Stalker, vous savez bien que les insulteurs et les calomniateurs se discréditent eux-mêmes. Or la bonne foi est la meilleure des armures et l'honneur veut qu'elle soit présumée. Donc, y a-t-il un problème ? Quant à vos chevilles, les mâchoires de quiconque peut les saisir, au contraire, doivent être gigantesque. L'aiguille, comme pour le reste, est plus indiquée.
Bon, cela suffit, j'ai, pour la journée, des tâches sérieuses.
Vade valeque !

Écrit par : Anaximandrake | 14/06/2005

Allez, comme tout fini en chanson, carambar pour tous.

Kate, sans rancune.

Stalker. Allez, comme je t'aime bien, dernier sketch avant le générique de fin.

"POURQUOI NE PAS ME L'AVOIR DIT PLUS TÔT?"

Anaximandrake avait pris la route en compagnie de son disciple Stalker.Chaque fois qu'ils passaient devant une maison de belle apparence, ils se présentaient à la porte, à la manière des sages itinérants.
On leur tendait nourriture et boisson.

Anaximandrake mangeait toujours tant qu'il pouvait puis s'allongeait sur le sol pour dormir. Stalker, lui mangeait peu, après quoi il se secouait et mangeait encore.

Au bout de quelques jours, Anaximandrake lui demanda la raison de cet étrange manège.

"Eh bien, Maître, j'ai découvert que si je mange un peu, ensuite si je bois de l'eau et je fais descendre le tout en me secouant, je peux CONTENIR PLUS."
Anaximandrake retira une de ses sandales et en frappa le Stalker à deux reprises:

"Comment as-tu osé me cacher un secret aussi précieux! Oh, quand je pense à la quantité de nourriture que j'ai laissé perdre simplement parce que je n'était pas en mesure de l'absorber!
Je savais bien que j'étais encore loin d'atteindre la limite de capacité de manger. La limite de la satiété, après tout, n'est-ce pas l'ECLATEMENT ?"

Anaximandrake, tout cela est vraiment grotesque.Désolé.

Rideau.

Écrit par : Histoire carambar à deux balles | 14/06/2005

Grotesque ? Non : questions simples, réponses qui ne le furent pas et même, qui ne me furent pas données.
Vous feriez mieux d'appliquer le principe d'Occam plutôt que d'en écrires des tonnes, indigestes et pseudo-parodiques. Des tâches sérieuses... Qui n'en a pas, y compris NO, ramasseur de guano de pétrelle sauvage pour arrondir ses fins de mois ?
Enfin : mes chevilles sont bien moins larges que les croupes de certains, ici même.

Écrit par : Stalker | 14/06/2005

Outre le fait que vous nous ayez offert une spectaculaire représentation théâtrale des Précieuses Ridicules ici même en 24 commentaires, nous vous décernons la palme du hochet, bébé Stalker.

Écrit par : Section blagues de Pif et Gadget | 14/06/2005

C'est sûr qu'on ne lira plus les textes de la Zone avec le même regard après cette pantalonnade-débandade...

Écrit par : Un Passant | 14/06/2005

Moi , je vous lirai avec une attention redoublée Juan . Vous êtes un homme de colère , de souffrance et de courage ...Votre haine et votre mépris ne sont que votre premier jet ... ô jeunesse !

Écrit par : Simone | 14/06/2005

Une chose est pourtant certaine, Juan porte franc et haut son nom, ses origines et son écriture, sans peur de la honte et de son émotion, ce qui n'est pas le cas de vos petites voix anonymes et perverses, dissimulées encore derrières quelque de vaste croupe pseudonymique vous évitant la raclée publique. Je ne vois personne ici tentant d'avancer la moindre pensée cohérente face au philosophe ou à l'écrivain, juste quelques roquets rodant, nerveux, près d'une arène où le respect fait loi. Qui lit réellement ce qui se passe en ce moment entre ces deux hommes ? Qui peut le déchiffrer ? Qui englobe cette relation pour en tirer les fils de résistance et de progrés ?
Sortez ! Vous parasitez cet échange difficile, ou alors présentez vous tête haute, accompagnés de vos textes liés. Pardonnez moi, Anaximandrake, d'intervenir ainsi chez vous, mais vous savez l'autonomie de ma colère et j'espère que vous voudrez bien passer sur cette ingérence.
A vous deux,
pietas et fides.

Écrit par : Marie-Cécile | 14/06/2005

"Un homme de colère, de souffrance et de courage"... Ah ! N'allez pas confondre une voix haut perchée en si mineur de roquet émasculé avec Itzhak Rabin, Martin Luther King et Gandhi, s'il vous plaît mademoiselle. Il n'y a ici de colère, de souffrance et de courage que celles d'atteindre un hochet situé à cinquante centimètres d'un berceau. Le stalker n'est qu'un gros bébé qui ne fait mouiller personne. Si, pardon, excusez-moi. Des stalkerettes niaises à cervicales débranchées. Voilà toute la gloire que l'on retire d'un paquet de langes.

Écrit par : Section blagues de Pif et Gadget | 14/06/2005

Stalker, tu es con, tu es con. Tu peux impressionner les esprits faibles, mais moi tu me fait rire.

Et, pour reprendre tes propres grandes tirades de colère : "Putain, bon sang, après la raclée que tu t'es pris chez Cormary, comment oses-tu présenter encore ta face de sous-doué purulent ?" (quelle classe ce style-genre colère, wouah !)

Écrit par : Newbie Ocean | 14/06/2005

Stalker écrit. NO, esprit fort, au lieu de répéter "tu es con", lis son article en pdf "La voix secrète de l'art."

Écrit par : Alina | 14/06/2005

Et toi commence par lire ce que j'ai écrit plus haut, tu comprendras en quoi je pense pouvoir dire, sans erreur : c'est un con.

Écrit par : Newbie Ocean | 14/06/2005

Mr No, votre opinion est libre mais elle reste une opinion, c'est-à-dire qu'en elle-même son intérêt est fort limité. S'il y a usurpation d'identité de sa part, elle n'a pas eu lieu ici. Donc, vos objurgations monophasées, si elles sont fondées (chose que j'ignore), sont hors sujet. Cesser, donc, me semble, en l'occurrence, indiqué.
Quant à Stalker, il doit être en train de relire, crayon à la main, "les grands courants de la mystique juive" par Scholem puisqu'il a fini par réussir à exprimer clairement son désir après moults moulinets donquichottesques et force tarasconades. Qu'il le reconnaisse n'intéresse que ceux qui prennent au sérieux ses lazzi. Bonne lecture coquin de Stalker.
Simone, Alina et Marie-Cécile, je vous salue. N'avez-vous tout de même pas l'impression de faire le jeu de l'animal rusé ? Mais, enfin, qui s'en soucie ?

Écrit par : Anaximandrake | 14/06/2005

Non, ce n'est pas une opinion mais un fait, qui pourrait faire bien servir de base à la mise en branle de tout un concept.

Mais je sens bien que je dérange votre assemblée de cul-bénis.

Je vous laisse.

Écrit par : Newbie Ocean | 14/06/2005

Mr No, ceci est un peu facile. La pose de l'incompris sied déjà à peine à l'adolescence. Donc : énoncez précisément les faits et déroulez ledit concept.

Écrit par : Anaximandrake | 14/06/2005

Ce n'est pas la pose de l'incompris mais de l'incompréhensible. Je crois qu'il y a une telle distance entre ma conception du monde et celle de beaucoup ici que tout débat tourne court ou finit par chauffer les oreilles.

Et puis je n'aime pas les Josyane hystérique.

A bientôt, ici ou ailleurs.

Écrit par : Newbie Ocean | 14/06/2005

de Dieu chose l'Un

Ou bien il y a quatre hypostases et le Un est au-delà de l'être

Oui bien il y a une hypostase et le UN est au-delà de l'être

Écrit par : Fulcanelli | 15/06/2005

Pas vraiment hypostase, fluctuation sans fixation réelle DANS l'être. De deux choses lien, 3 est le lit 1, court le lapin.

Écrit par : Marie-Cécile | 15/06/2005

mais bon sang bien sûr !

putain...

Écrit par : Pif | 15/06/2005

Et Dieu créa sept fluctuations et sept attracteurs étranges (Qoran, VII, 45)

Et Dieu dit : Marie-Cécile, augmente ma science (Qoran, XVI, 14)

L'Europe assume l'héritage de Rome mais elle ne doit pas accoucher d'une césarienne (Fabius, VII, 12)

Écrit par : Fulcanelli | 15/06/2005

Et Newbie ajouta : Fulcanelli te taire tu commencera par.

Écrit par : Newbie Ocean | 16/06/2005

Les commentaires sont fermés.