30/06/2006
Testis
« Chaque âme est et devient ce qu’elle regarde. » (Plotin)
« Le désir est mon pilote, et mon butin la beauté » (Shakespeare)
« Le sentiment est la limite dernière ; il ne peut donc être composé, ni décomposé davantage. Le sentiment est absolument ce qu'il est et parce qu'il est. » (Fichte)
15:30 | Lien permanent | Commentaires (21)
Commentaires
Tous mes voeux de bonheur Salomé et Anaximandrake !
Écrit par : Simone | 30/06/2006
N'est-ce pas un hôtel situé rue Bonaparte? Si c'est celui auquel je pense, c'est endroit magique...
Écrit par : OrnithOrynque | 01/07/2006
Stanislaw, le Snark et le justicier berceront à jamais en leur surface leur centre désormais bien campé sur ses quatre pieds.
Vous avez toute notre confiance aimable Salomé.
Écrit par : stanislaw, le snark et le justicier | 01/07/2006
Plotin "Fuyons mais vers le haut".
Andrea Camilleri : "Le dialecte exprime le sentiment".
Brejnev : "Avec nos meilleurs vieux".
Philippe M: "And they eurent beaucoup de little dandies". ; )
Écrit par : Blog-trotter | 01/07/2006
"Il ajouta que, sur l'autre rive, s' élève la Cité des Immortels, riche en avenues, en amplhithéâtre, et en temples." (Borges)
"Je suis Isis, qui règne sur toute terre [...]. J' ai séparé la terre du ciel. J'ai montré aux étoiles leur chemin. J' ai ordonné la course du soleil et de la Lune".(parchemin égyptien)
"Quant à ces [dieux] dont la domination s' exerce sur la terre, ils seront restaurés un jour et installé dans une ville à la limite extrème de l' Egypte (in summo initio Aegypti), une ville qui sera fondée du côté du soleil couchant et où affluera, par terre et par mer, toute la race des mortels." (parchemin égyptien)
Écrit par : ...(Y)... | 01/07/2006
Ainsi fut scellée l'Alliance, un jour plus blanc que les autres. De sa crête, il regardait les nuages en bas du Sinaï, heureux d'être deux.
Voeux. Et prenez garde ce soir à votre tête.
Écrit par : Caledemon | 01/07/2006
La Lumière est mienne; ses rayons
Me consument: j'ai fait une porte secrète
En la Maison de Râ et de Tum,
De Khephrâ et d'Ahathoor.
Je suis ton Thébain, ô Mentu,
Le prophète Ankh-af-na-Khonsu !
Avec Bes-na-Maut je frappe ma poitrine ;
Avec la sage Ta-Nech je tisse mon charme.
Manifeste ta splendeur stellaire, Nuit !
Invite-moi en ta Maison pour y demeurer,
serpent ailé de lumière, Hadit !
Demeure avec moi, Râ-Hoor-Khuit !
Écrit par : Aleister Crowley | 01/07/2006
variable : "Aimons nous, les uns, les autres"
Écrit par : cheval blanc | 01/07/2006
Un dernier tango à Paris ?
Écrit par : Lambert Saint-paul | 02/07/2006
Apparemment, monsieur Saint-Paul semble penser que c'est "pour du beurre".
Ne boudez pas un commentaire de mauvais goût de temps en temps n'a jamais fait de mal !
;-)
Écrit par : Caledemon | 02/07/2006
Un pas de deux dans la cour des grands.
Écrit par : beverycool | 03/07/2006
Faut prévenir Plotin qu'on est tous devenus image qui parle à la télévision pendant qu'il était mort, sinon va passer pour un vieux con Plotinou .
Écrit par : Danielle | 05/07/2006
plotin, fichte...cela revient à dire : "ce qui est est"...tautologies, la pensée ne dit jamais, elle ne fait que se dire... car comment vérifier le bien fondé de ce que dit la raison ? "aucune raison ne s'établira sans une autre raison : nous voilà à reculons jusques à l'infini", "la philosophie n'est que poésie sophistiquée" (Montaigne, Livre II, châpitre 12)
Écrit par : kidam | 06/07/2006
Asymptotes horizontales :
Calculons la limite de f en plus l'infini:
Calculons séparément ces deux limites:
Cette dernière limite étant indéterminée, nous levons l'indétermination en employant le théorème de l'Hospital:
Finalement, nous obtenons le résultat du calcul de la limite en plus l'infini:
Calculons maintenant la limite de f en moins l'infini:
Calculons séparément ces deux limites:
Nous obtenons le résultat du calcul de la limite en moins l'infini:
Les limites en plus l'infini et en moins l'infini n'étant pas un réel, le graphe de f n'admet pas d'asymptote horizontale
http://www.stben.net/~cdropsy/images/q57/Image5.gif
A reculons ?
Écrit par : Danielle | 06/07/2006
perdu ! la raison ne se limite pas au raisonnement sur le réel ( ce qui est mesurable) elle inclut aussi l'idéel
Écrit par : kidam | 06/07/2006
exemple : quand je dis " la psychanalyse est un colosse aux pieds d'argile ", ce n'est pas un raisonnement mathématique qui pourra me contredire
Écrit par : kidam | 08/07/2006
Les commentaires sont... esotériques ! Je me suis perdu.
Écrit par : cmg | 09/07/2006
Quelle est cette secte étrange ?
Écrit par : Cocoricocoboy | 09/07/2006
plus loin encore que le sentiment, j'ai le sentiment qu'il y a le néant l'éternité, un truc chépakoi?!
nota très interressée par ces dicussions desfois un peu trop compliquées ...mais je suis prête à faire un effort pour suivre..parce qu'actuellement j'ai bcp de questions et de réponses
Écrit par : tiphaine | 10/07/2006
Les faiblesses des hommes et des femmes, il les connaissait presque instinctivement et n'abusait jamais de ce pouvoir.
A l'oeuvre maintenant
Écrit par : ?? | 14/07/2006
Commentaire lié au texte du 25/06/06
« Un étranger entre dans un magasin russe. Les étalages sont vides. — Mais ?... 'y a pas de viande ? — Non, ici, 'y a pas de pain, c'est en face qu'y a pas de viande. » (Almanach Vermot)
« On demande ce qui est le plus grave, parler de nourriture ou manger les mots. » (Deleuze)
« Je ne peux recevoir parce que chaque mot que je dis me retentit dans l'estomac et me donne une douleur à gauche, tu sais ? dans le coeur. [...] Aucun des naufragés de la Méduse n'a souffert plus que moi, excepté ceux qui ont mangé de l'Homme. » (Vigny)
« — Rodrigue, as-tu du coeur ? — Tout autre que vous, mon père, l'éprouverait sur l'heure. » (Corneille)
« M. Fechsler jura admirablement, ce qui prouvait bien qu'il n'avait pas laissé son Plaute se couvrir de poussière, [...]. A Kirchenlamitz une averse nous poussa à l'auberge où nous continuâmes nos jurons. J'observai avec amusement l'étonnement qui s'empara d'hommes aussi vulgaires que les aubergistes lorsque je proposai à traduire à mes disciples de difficiles injures et jurons de Sachsenhausen — en une fête des injures que les Anciens célébraient effectivement le jour de la fête de Bacchus et les Ephesiens le 22 janvier et qui est maintenant encore en honneur chez les modernes pendant les vendanges ou sur les bords de la Tamise — d'aussi difficiles jurons, dis-je, que : " Que le diable te déchire, que le tonnerre t'enfonce de neuf millions de milles dans la terre " : et pendant ce temps le professeur devait sans cesse soutenir de ses phrases son disciple sous les bras. Je fus récompensé de mes efforts lorsque deux élèves, à force de s'injurier pour rire, se disputèrent pour de bon et je leur permis de bon coeur de se déchaîner l'un contre l'autre, à condition que ce fût en langue morte. » (Richter)
Écrit par : Jacques | 15/07/2006
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