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21/09/2006

Tolle, lege !

« Les gens sans entrain parlaient de l'argent et se montraient des morceaux de métal. » (Lawrence)

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 « Aussi garde-toi et sois . »  (Mallarmé)
 
 
 

 

Commentaires

Cher « leading practitioner » : je souscris à l'édition en télougou !

Écrit par : sk†ns | 22/09/2006

[...ici se trouvait un énième grossier délire diffamatoire et projectif...]...Magister supra-luminique du Moi définitivement déconstruit (pardon, Derrida : beeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuurk !).


IP : 83.202.32.125 of course, la vôtre, pas la mienne...

Écrit par : Troll | 22/09/2006

Le monde est si prévisible : en voyant cette note hier soir, j'ai failli laisser le commentaire suivant : "Stalker va ressentir une intense crise épidermique de jalousie".

Et voilà le résultat !

Écrit par : N.O. | 22/09/2006

Monsieur Couine
Monsieur Couine
et la caravane passe

Écrit par : gogol 2nd | 22/09/2006

Effectivement N.O. De plus, ses délires, tout comme ses fantasmes, se révèlent à la fois tristement répétitifs et signifiants. Mais on ne peut choisir ses "lecteurs" assidus. Sinon, il s'agit bien sûr d'une ip (195.6.147.228) de cet hystérique confus et anglophobe.

PS : mon ip n'est évidemment pas la sus-citée. Notre "ami", une fois de plus, est mal renseigné.

Écrit par : Anaximandrake | 22/09/2006

Mathématiques de l'intensité... Pour l'"ignoramus" que je suis, vous pouvez expliquer - ou résumer - en quelques mots ce dont il s'agit. Surtout que cette publication, tirée en exclusivité, n'est pas disponible dans mon Canada isolé.

Écrit par : Kate | 22/09/2006

« 195.6.147.228 » : ascenseur pour l'Asensio ?

Écrit par : sk†ns | 22/09/2006

Si, Kate, cette revue est disponible dans votre Canada connecté, comme partout ailleurs. Mais quant à votre question - car l'important est évidemment le contenu et pas l'auteur -, on peut lire un aperçu de la question de la mathématique de l'intensité ici : http://anaximandrake.blogspirit.com/archive/2005/05/11/logique_de_l_auto-appartenance.html

Oui, sk†ns, et aussi 85.168.222.255. On continue de se demander pour quelles raisons ledit arriviste nous colle ainsi. A lire les symptômes, il s'agit sans doute d'un désir non encore formulé de s'éduquer. Mais je n'ai pas encore lu ici (ce qui n'implique pas que j'en ai lu ailleurs) sous sa plume un quelconque argument, ni une ébauche de preuve rationnelle, ni même une question claire (il a une seule fois fini par réussir à demander de quel ouvrage provenait une citation de Scholem). En fait, je crois que lui-même ne sait pas ce qu'il veut. Bref, ce n'est qu'un paumé banal arrimé à son petit aboiement virtuel et revanchard, l'unique source de l'auto-justification de son existence. Mais, je lui offre bien entendu toute ma compassion. Et puis, il est d'un tel comique involontaire...

Écrit par : Anaximandrake | 23/09/2006

86.205.70.226 : celui de "hanneton" dont je viens d'effacer le commentaire laissé chez moi. On se rapproche du Troll.

Écrit par : N.O. | 23/09/2006

85 168 22 255 a correspondu, chez moi, à un faux Montalte ainsi qu'à un faux Driout.

(oui, je fiche mais c'est pour ma bonne cause).

Écrit par : N.O. | 23/09/2006

Pardon...

Écrit par : Stalker | 23/09/2006

"C'est de ces gouttes de lumière cimentées que sont faits le style et la fable d'un livre." (Proust)

Longue vie, Magister, au Livre en devenir !

Écrit par : Malvina van Stille | 25/09/2006

Merci.

Quant au faker du Stalker (certain(e)s ont vraiment du temps à perdre...) ci-dessus (j'en ai retiré le lien), il ne me semble pas qu'employer les mêmes outrances, vulgarités et délires scatologiques que le parodié soit d'une grande pertinence. L'aigu serait bien plutôt dans la litote.

Écrit par : Anaximandrake | 25/09/2006

J'ai tiré un 85.168.251.14 (22h) : est-ce que c'est le matos du patron à cette heure-ci ?

Écrit par : sk†ns | 26/09/2006

Cher Anaximandrake, vos notes sont toujours un excitant inattendu (quant aux aliments, les trouver est une tâche beaucoup plus banale).
En suivant la référence que vous venez d'indiquer je tombe sur une "citation" de Spinoza sur laquelle je m'étais brièvement penché dans une de mes notes que je vous soumets, à titre de curiosité :

"Je lis cette traduction cathédralesque de Spinoza : « La liberté s'oppose à la contrainte et non à la Nécessité » - monumental, beau et faux ; j’échafaude une savante réplique, du genre : la liberté est peut-être une nécessité extérieure ; la contrainte doit être une nécessité intérieure ; au dernier moment je m’avise que ce qu’on cherche à traduire est le tout bête : « Deus ex solis suae naturae legibus, & a nemine coactus agit » (« Dieu n’agit que selon les lois de Sa nature, sans l'assistance de personne ») – mesquin, laid et juste - et m’éclate de honte et de rire…"

Écrit par : scythe | 28/09/2006

je vous doit toujours des commentaires plus nourrissant..en attendant savez vous où l'on peut trouver des graines de mandragore...il me faut une recette de type eternal sunshine mais vraiment efficace.
avez vous vu le messie depuis? et connaissez vous Philippe Sers?
a bientot

Écrit par : quest et y ont | 02/10/2006

Le facétieux vous salue

Écrit par : Fulcanelli | 05/10/2006

Qui sait, sk†ns... Néanmoins, contrairement à l'authentique original (ou l'original authentique), il signe comme le faker.

Merci, cher Scythe. Je vous rends volontiers le compliment. Ce que vous présentez comme "ce qu'on cherche à traduire", bien que piquant, minimise arbitrairement, tel un 'Deus ex machina' le 'Deus sive Natura' obvie de Spinoza. Invoquons bien plutôt la lettre de Spinoza à Schuller : "J'appelle libre, quant à moi, une chose qui est et agit par la seule nécessité de sa nature; contrainte, celle qui est déterminée par une autre à exister et à agir d'une certaine façon déterminée [...] Vous le voyez bien, je ne fais pas consister la liberté dans un libre décret, mais dans une libre nécessité."

Non, Quest, Philippe Sers ne m'est connu que de nom.

Cher Fulcanelli, c'est en retour que je vous salue.

Écrit par : Anaximandrake | 07/10/2006

Puisque, au lieu de me sauter à la gorge comme le fait le blogger type, vous me répondez si poliment, je me permets de revenir à mon propos. Et j'essaierai de m'en tenir, comme toujours, à une ironie bienveillante (la pédanterie malveillante est hors de portée pour mes maigres connaissances).
C'est sur le site des « Amis de Spinoza » que j'avais trouvé la traduction incriminée, avec un renvoi non-équivoque au passage de l'Éthique, que je cite, et non pas à une lettre privée. Ce qui est le plus curieux dans ce contexte, c'est que Spinoza passe par l'ancrage systématique des prédicats à seul Dieu, là où chez les interprètes/traducteurs on trouve de vastes et vagues abstractions sans point d'attache plausible. De même dans votre extrait de lettre de Spinoza : entre deux phrases que vous citez, se trouve une troisième qu'il reprend à plusieurs reprises ailleurs : « Ex. gr. Deus, tametsi necessario, libere tamen existit, quia ex sola suae naturae necessitate existit. » - le mot Dieu est aussi incontournable pour Spinoza que le mot Sein pour Heidegger. Qu'ils prédiquent à coups de scholies ou de préfixes... Laissant perplexes logiciens et linguistes...
J'avoue que si je pinaille la-dessus, c'est surtout pour mieux glisser une autre de mes mésaventures spinozistes. Toujours dans votre article, si je ne m'abuse, on lit cette sentence de Spinoza (je crois que c'est Deleuze qui la cite exactement dans les mêmes mots) : « L'essence, c'est la puissance ». Une fois de plus, c'est le bon Dieu qui fait les frais de cette étrange substitution nous plongeant dans un verbalisme existentialiste sans fond. Je soupçonne que la seule source crédible est : « Dei potentia est ipsa ipsius essentia » (à propos, - voisine de la précédente !) que, naïvement, je traduirais : « La raison d'être de Dieu est d'exercer Son autorité » - pas de quoi rameuter des thésards en philosophie ! Mais il est probable que ses commentateurs praestantissimi, clarissimi, expertissimi, acutissimique ont laissé tomber le Gêneur panthéiste pour laisser, ensuite, champ libre aux tenants de chaires...

Écrit par : scythe | 08/10/2006

L’ironie tend, bien entendu, vers le Bien puisqu’elle est remontée vers les principes. Elle appelle ma neutralité, elle aussi, bienveillante.

Je réitère. Chez Spinoza : « Deus sive Natura ». Il s’agit pour lui de se réapproprier et l’absolu et la nature face aux diverses cléricatures. Il est bien évident que la science et sa méthode sont bénéficiaires du spinozisme. Le concept de Dieu soutenu habituellement par les théologiens devient intenable rationnellement car Spinoza prouve que le sien lui rend sa puissance en le privant de ses prédicats anthropologiques, sources du pouvoir des clergés. Spinoza, ironiquement, démontre que si l’on veut vraiment penser Dieu comme absolu et tout-puissant, il faut le penser comme Nature, et donc – c’est un corollaire - comme étendu.

Écrit par : Anaximandrake | 11/10/2006

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